dimanche 26 mai 2013

L’amour de langue, finnois et francais


On appelle le francais la langue de l’amour, mais l’amour de leur langue des Francais est aussi bien connu. Récemment on a pu témoigner, une fois encore, des déclarations de cet amour lorsque les discussions ont été initiés au niveau parlementaire en France, sur le droit à donner de l’enseignement en anglais dans les universités francaises en général et sur la justification de l’augmenter.  On s’est demandé il y a deux jours, à l’éditorial de Hesari, de quel genre est cet amour

Les Finlandais aiment la langue finnoise. Nous sommes 5 millions, et finnois n’est pas parlé, et ne sera parlé, qu’en Finlande. Aujourd’hui dans nos universités, l’anglais est la langue principale des recherheurs et étudiants. C’est vrai qu’on a critiqué ce qu’en ce moment nous avons trop peu de discussion scientifique en finnois, et argumenté que ca puisse appauvrir la langue scientifique finnoise. Mais autrement, il y a peu de signes du souci remarquable concernant la survie ou le détériorement de notre langue. 

Le commentateur de Hesari a proposé que la différence entre l’amour francais et l’amour finlandais soit que le notre est de genre confiant. Au même temps les francais aiment leur langue en jalousie, même en panique. Lui, il admire l’intensité de ce sentiment des Francais qui jaillit du fait que le francais est une vieille langue culturelle qui est parlée par plus de 60 millions de gens, dont une part en dehors de la France. Soit-elle, notre confiance domestique, justifiée ou sommes nous seulement indifférents: N'importe si l’anglais va avaler notre langue!

J’ai proposé une fois, que la langue finnoise possède des qualités qui la rendent immortelle. J’avais basé cet argument sur le fait qu’elle a la structure unique qui se manifeste dans la facilité de construire des mots croisés et palindromes. Cet argument était pour plaisanter, mais les finlandais aiment les mots croisés. Selon une èstimation, il y a 1 million finlandais qui font des mots croisés régulièrement. C’est la question des mots croisés finnois, bien sûr. En plus, il est possible de produire, en finnois, de poèmes et d’histoires en forme de palindrome, qui ne sont pas seulement des curiosités linguistiques ou des blagues, comme par exemple ceux-ci par Georges Perec, mais de la littérature qui peut être prise au sérieux. 

Je ne veux par dire qu’on ne pourrait pas aimer la langue à travers des jeux de mot quoiqu’ils ne soient que des blagues. Au contraire. Voici le premier palindrome francais que j’ai appris: Eh, ca va, la vache? Pas mal, pour une blague. Ha-ha.

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